C’est le nouveau nom de Wagner, en particulier en Afrique sahélienne où les Russes sont très présents et s’implantent au Mali, Niger, Burkina Faso. Poutine reprend le nom des troupes de Rommel en 1941, c’est-à-dire des fidèles à Hitler et au nazisme. Bas les masques : Poutine c’est Hitler, il faut le dire à haute voix, même s’il prétend envahir l’Ukraine pour lutter contre le nazisme.
Certes les mauvaises nouvelles se multiplient sur le plan international (élections aux Pays Bas, en Argentine, au Danemark). Nous devons par contre nous réjouir de la décision du Conseil Européen d’avoir invité l’Ukraine à devenir membre de l’Union, et ce malgré l’opposition de la Hongrie, amie de la Russie. On voit que le résultat de la politique impérialiste de Poutine est l’adhésion de pays baltes et de la Scandinavie à l’OTAN et, encore mieux, de l’Ukraine et de la Moldavie à l’Union, suivies de la Géorgie et des Balkans. L’encerclement de la “grande Russie”, celle que Poutine poursuit, se réalise et ce n’est pas pour nous déplaire.
Pourtant l’Union Européenne doit faire mieux et soutenir bien davantage l’Ukraine, à commencer sur le plan militaire. Et la France d’abord. Malgré les grands discours de Macron, nous sommes parmi les derniers dans ce soutien, loin derrière l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Pologne, la Finlande. Il nous faut faire beaucoup plus et entraîner avec nous les Etats-Unis où l’on voit l’opposition d’une partie (républicaine) du Sénat s’opposer à l’aide à l’Ukraine.
On peut craindre encore pire si, par malheur, le putschiste Trump était élu en 2024.