par Nous nous envolons pour Budapest pour profiter de trois soirées de concerts et d’opéras dont la 9ème symphonie de Beethoven, hymne européen et à la Joie, de Schiller.
Même si la Hongrie n ‘est pas un modèle de démocratie et d’engagement européen, c’est le cœur battant de l’Europe depuis 1300 ans ; elle a vu tant et tant de peuples passer que l’on doit s’y arrêter pour penser à l’année qui vient.
Bonne année 2025 : c’est ce que je vous souhaite qui que vous soyez et quoi que vous pensiez.
L’année 2024 n’ a pas été bonne et nous devons tourner la page le plus rapidement possible La guerre impérialiste et barbare des Russes en Ukraine, la faiblesse des Etats-Unis et de l’Europe face au voyou et assassin Poutine, les crimes de guerre d’Israël à Gaza après le massacre des Innocents du 7 octobre, l’élection de Trump aux Etats-Unis, le chaos politique en France après la dissolution de l’Assemblée nationale, la menace d’une crise économique de l’Occident et les difficultés de l’Europe à rester une puissance : voilà notre héritage.
Nous devons surmonter ces drames et montrer notre capacité à construire une société nouvelle sur les valeurs de notre république : liberté, égalité, fraternité.
Ceci se fera d’abord en France par une priorité donnée à l’éducation au sens le plus large mais aussi par la réhabilitation de la famille. Nous devons y ajouter les progrès pour l’Europe avec l’achèvement du marché unique, d’une politique étrangère et de défense commune. Nous intégrerons l’Ukraine dans l’OTAN et l’Union ainsi que d’autres pays d’Europe centrale. Il faudra également redonner force et vigueur à l’ONU qui est une idée magnifique, enfant de la seconde guerre mondiale, et qui peine aujourd’hui à se réaliser.
J’ai conscience que ce sont des vœux (pieux) mais quel autre jour de l’année peut-on les formuler à propos ?
