Membre de la commission des affaires européennesdu Sénat et fédéraliste européen depuis mes 18 ans, j’interviens régulièrement sur les questions européennes. Je ne manque pas d’interpeller le gouvernement pour lui rappeler la vision socialiste de l’Europe et de l’Union européenne.
Je pointe aussi fréquemment du doigt les difficultés vécues par les Français établis dans d’autres pays de l’Union : manque de coordination des régimes de sécurité sociale, problèmes liés au détachement des travailleurs, dysfonctionnements en matière fiscale, conflits transfrontaliers en cas de divorce, de successions...
Vous trouverez ici mes interventions sur l’Union européenne et l’Europe.
Si je prends la liberté de m’adresser directement à vous, ce n’est pas seulement au nom de l’histoire et des valeurs qui nous rassemblent. C’est parce qu’il y a urgence. Dans quelques semaines, les élections européennes seront décisives pour l’avenir de notre continent.
Ce manifeste adopté le 19 février s’inscrit dans le contexte de rejet par la Commission européenne de la fusion entre Alstom et Siemens. Il a été co-signé par les ministres de l’économie français et allemand, Bruno Le Maire et son homologue Peter Altmaier. Il part du constat selon lequel « le monde industriel du 20ème siècle change sous nos yeux sous l’effet de la numérisation et ces changements sont si rapides que l’Europe doit unir ses forces et être plus unie que jamais ».
Hier soir, les membres du groupe d’amitié France-Italie du Sénat se sont entretenus avec Christian MASSET, Ambassadeur de France en Italie, sur les relations franco-italiennes.