À l’étranger les formalités relatives aux « papiers » des Français sont souvent complexes. J’interviens ainsi sur les questions de certificat de nationalité française, de passeport, de visa… Pour se faire, je suis amené à saisir le service central d’état civil, le greffe du tribunal d’instance du 1er arrondissement de Paris, mais aussi les différents services des ministères concernés de cas individuels.
Par ailleurs, les Français à l’étranger sont des citoyens à part entière qui à ce titre doivent pouvoir jouir de tous les droits liés à cette appartenance.
Vous trouverez ici mon activité sur ces différents points.
Le « choc de simplification » lancé par le Président de la République se poursuit. Depuis le 16 juin, les expatriés ont la possibilité de s’inscrire en ligne au registre mondial des Français établis hors de France.
Depuis le 19 mai 2013, les couples de personnes de même sexe peuvent se marier en France, y compris ceux dont au moins l’un des membres n’a pas la nationalité française.
Depuis le 1er juin, les Français nés à l'étranger dont l'acte de naissance a été enregistré sur les registres du Service central d'état civil (SCEC) de Nantes n'ont plus à fournir d'acte de naissance en cas de première demande de passeport.
Il y a un an, le Gouvernement prenait un décret prévoyant notamment la suppression de l’obligation de comparution personnelle pour la remise du passeport. L'entrée en vigueur du nouveau dispositif, à savoir la remise du passeport par envoi postal, est conditionnée à la publication d'un arrêté conjoint du ministre des affaires étrangères et du ministre de l’intérieur fixant la liste des pays concernés ainsi que les modalités de l’envoi postal sécurisé et de restitution de l’ancien passeport. Cet arrêté n'ayant toujours pas été publié, j'ai posé la question écrite ci-dessous.
Un petit saut en Eurostar à Londres les 21 et 22 mai pour participer à la réunion des camarades socialistes de Londres, en présence de leur ex-députée et Secrétaire d’État au numérique, Axelle Lemaire.