Le groupe de travail Brexit du Sénat a auditionné aujourd’hui Michel Barnier le négociateur en chef de l’Union européenne pour le Brexit.
Il a exposé la situation de ces discussions qui progressent très lentement. Il a rappelé les trois points sur lesquels les 27 pays veulent un accord avant de procéder plus avant : le règlement de la « facture » britannique à l’Union européenne, la situation des citoyens communautaires au Royaume-Uni, la frontière entre l’Irlande et l’Union européenne.
Je reprends son mot de la fin, emprunté à la chancelière Angela Merkel : « le vrai problème, ce n’est pas le Brexit, mais l’avenir de l’Union ».