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Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.

Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021.
Ce site est une image à la fin de mon mandat.
Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.

Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr

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Richard Yung
Octobre 2021

Le Parisien , 9 novembre 2018, 12h02

Le chef de l’Etat a également annoncé une « aide » à l’acquisition du premier véhicule et semble envisager l’intégration du Code de la route dans le parcours scolaire.

Des annonces qui ne sont pas anodines, alors que la flambée du prix du carburant pèse de plus en plus lourd sur le porte-monnaie des automobilistes : Emmanuel Macron a annoncé ce vendredi que le gouvernement allait « drastiquement baisser le coût du permis » de conduire, et « aider à l'acquisition du premier véhicule ». Sans toutefois donner plus de détails.

Ceux-ci seront précisés dans le projet de loi d'orientation des mobilités attendu en fin d'année.

Désireux de « simplifier la mobilité » et d’aider à « avoir le permis plus vite et moins cher », le chef de l’Etat, en déplacement à Lens (Pas-de-Calais) a également annoncé que le Code de la route serait « intégré à la partie scolaire ».

Une mission parlementaire en cours

Une mission parlementaire menée par les députés LReM Françoise Dumas (Gard) et Stanislas Guérini (Paris) a été ouverte fin août sur la question du permis, mais leurs réponses sont attendues mi-décembre.

L’examen considéré comme trop couteux et trop long à obtenir, avait déjà été réformé lors du précédent quinquennat par... Emmanuel Macron, alors ministre de l’Economie, soucieux de libéraliser le secteur des auto-écoles. L’examen du code de la route a notamment été privatisé par la loi Macron, entrée progressivement en vigueur entre 2016 et 2017, obligeant également les préfectures à accepter l’inscription des candidats libres (sans auto-école) à l’examen du permis sous deux mois.