Les expériences professionnelles internationales sont, pour les jeunes, l’opportunité de recevoir un apprentissage unique et le moyen de faciliter leur insertion professionnelle.
Le volontariat international en entreprise (VIE) participe de cette dynamique. Chaque année, environ 100 000 Français et Européens, âgés de 18 à 28 ans, profitent de ce dispositif, qui permet à 92% des volontaires de trouver un emploi immédiatement après cette expérience internationale.
Alors que la jeunesse est durement frappée par les effets de la crise sanitaire, le Gouvernement souhaite lui redonner l’opportunité de bénéficier du VIE dans des proportions équivalentes à celles de l’avant crise.
Grâce au plan de relance, les petites et moyennes entreprises (PME) et les entreprises de taille intermédiaire (ETI) peuvent bénéficier d’un chèque relance par mission VIE, qui permet une prise en charge du coût annuel du dispositif.
Le Gouvernement souhaite « aller encore plus loin » en permettant l’accès au VIE à plus de jeunes et, en particulier, à ceux qui ont été le plus durement touchés par la crise. À cette fin, toutes les entreprises qui choisiront des candidats issus de formations courtes ou des jeunes issus des quartiers prioritaires seront éligibles au chèque relance VIE. L'objectif est de « renforcer l’équité de ce dispositif vertueux », ce dont je me réjouis.