Je viens d’apprendre la décision de la France de se séparer de la Maison de France à Berlin.
Même si les contraintes budgétaires sont particulièrement fortes, je souhaite que d’autres solutions au financement de l’immobilier et de son entretien soient mises en œuvre par le Ministère des affaires étrangères.
En cette année du cinquantenaire du Traité de l’Élysée, il est important d’entendre la voix de l’opinion publique berlinoise et allemande. Une mobilisation forte autour des conseillers AFE, du député de la 7e circonscription des Français de l’étranger et des sénateurs des Français établis hors de France doit être entendue par les autorités politiques françaises.