La commission consultative du STAFE - composée de trois conseillers à l’AFE et de fonctionnaires du Quai d’Orsay – s’est réunie en visioconférence le 5 mars dernier. Cette année, le dispositif a été « ciblé sur les projets qui concernent les Français établis hors de France » (les dossiers relatifs à des projets exclusivement culturels ont été rejetés).
Parmi les autres évolutions figurent la prise en charge d’une partie des frais de gestion ainsi que la fixation d’un seuil permettant de concentrer le dispositif sur les petites et moyennes associations.
La directrice de la DFAE, Laurence Haguenauer, a indiqué que « les fonds non utilisés seront fléchés vers des associations locales qui œuvrent en faveur des Français établis hors de France ».
Elle a également indiqué que les associations disposent d’un nouveau délai pour déposer leurs dossiers (30 avril). Les nouvelles demandes seront examinées en juin.
Par ailleurs, il importe de noter que les associations qui soutiennent les auto-entrepreneurs sont désormais éligibles au dispositif.