La France est seconde en Europe pour le capital-risque et les créations de startups.
Celles-ci sont souvent financées par l'impôt, en particulier le crédit d'impôt recherche.
Malheureusement, arrivées à un certain stade de développement, elles ne trouvent pas les financements en fonds propres dont elles ont besoin pour devenir vraiment internationales et elles sont alors achetées par un investisseur étranger (américain souvent).
Dernier exemple : la société AAA (Advanced Accelerator Applications), firme française spécialisée dans le diagnostic de cancers rares et en médecine nucléaire vient d'être rachetée par Novartis le géant suisse de la pharmacie, pour 3,3 milliards d’euros. C'est désespérant !