Trump en visite au Royaume-Uni a rencontré la plupart des dirigeants britanniques candidats à la succession de Theresa May, tous bien sûr, pro Brexit.
Il a aussi dit tout le mal possible de Jeremy Corbin, le leader travailliste. Ces visites lui ont permis de chanter les louanges d’un Brexit rapide et sec. De quoi se mêle-t-il ? Qu’il soit hostile à une Union européenne plus forte, à l’idée même d’une défense européenne, c’est normal car dans son esprit, c’est au désavantage des États-Unis, mais cela, il doit le dire aux États-Unis, non en Europe.
On a bien compris, Trump est en campagne pour sa réélection. C’est pourquoi à mon humble avis, il ferait mieux de parcourir l’Idaho : cela lui rapporterait plus de suffrages que Nigel Farage !