En ce jour anniversaire des attentats de 2015, nos pensées vont aux victimes des terroristes, ceux du Bataclan, du 12ème mais aussi ceux de Nice.
Bien que cela n’entraîne de mort humaine, je pense aussi aux 900 salariés de Bridgestone qui vont perdre leur entreprise et leurs emplois. Je crains, pour l’avoir vu à plusieurs reprises, qu’on ne les balade avec des plans de reprise irréalistes, c’était le cas de celui d’Accenture, ou ceux présentés par tous les escrocs, bandits qui, attirés par le corps encore tiède, cherchent à le dépecer et à se remplir les poches au détriment des salariés.
Puis il y aura des promesses, des engagements des autorités de tout genre, de la société Bridgestone elle-même, d’autres avec pour objectif, de faire patienter, de faire espérer contre toute attente, d’habituer les salariés à l’idée de perdre leur emploi.
J’espère bien sûr qu’une solution pérenne et sérieuse permette de sauver le plus grand nombre d’emplois mais j’espère surtout que l’on procédera avec dignité, sans tromperie, et dans la vérité.
Puisque nous parlons de vérité et de dignité, je note que le grand patron de Pfizer, Albert Bourla, a vendu pour 5,6 millions de dollars de titres de sa société, curieusement le jour même où il annonçait la mise au point d’un vaccin anti Covid empochant ainsi une plus-value considérable. C’est un monsieur sérieux et il s’est entouré de toutes les précautions nécessaires pour ne pas être accusé de délit d’initié. Il doit avoir raison puisque sa vice-présidente Sally Susman a procédé de même.
On a beau dire, cela choque et j’éviterai, si je peux, le vaccin Pfizer.