Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.
Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021. Ce site est une image à la fin de mon mandat. Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.
Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr
Dans quelques jours débutera la discussion du projet de loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques. Adopté par l’Assemblée nationale le 19 février dernier, ce texte vise à moderniser l’économie française et lever les freins à l’activité. Parmi ses 295 articles figure une disposition qui intéresse directement les Français établis hors de France.
Dans le cadre de nos nombreuses relations avec la Commission, le Conseil et le Parlement européens, nous avons passé deux jours à Bruxelles, lundi 23 mars et mardi 24 mars, pour y rencontrer un certain nombre des responsables :
Le 11 mars, j'ai participé au Forum des PME à l'international, vous trouverez ci-dessous l'allocution de M. Matthias Fekl, secrétaire d'État chargé du commerce extérieur, de la promotion du tourisme et des Français de l'étranger.
Dans la nuit du 16 au 17 mars, je suis intervenu, au nom du groupe socialiste, dans la discussion générale du projet de loi autorisant la ratification de l’accord concernant le transfert et la mutualisation des contributions au Fonds de résolution unique (FRU).
Aza midera eo afa-tsy ity fahatonorana mandrakizay mitolotra ho anao, ao anaty indray mipimaso izay zanaky fahanteran’ny tany mifandimby (N’y contemple que cette jeunesse éternelle qui s’offre à toi, en un clin d’œil, et qui est fille des vieux mondes successifs) Jean-Joseph Rabearivelo, Presque-Songes
À l’approche des élections départementales, lors desquelles un record d’abstention risque d’être battu, la question du vote obligatoire refait surface dans le débat politique.
Les deux-tiers des expatriés français n’envisagent pas un retour en France dans les cinq ans à venir. Pourquoi cette réticence ? La protection sociale "à la française" peut-elle les faire changer d'avis ?
Manuel Valls était à Strasbourg le 3 mars. Je le soutiens entièrement dans sa démarche de dialogue avec l’Islam de France. Vous trouverez ci-dessous le compte-rendu du site du gouvernement.