Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.
Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021. Ce site est une image à la fin de mon mandat. Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.
Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr
La commission des lois du Sénat s'est réunie ce matin (11 juin) afin d'examiner le rapport de Jean-Jacques Hyest, président de la commission des lois, sur le projet de réforme constitutionnelle. Nous avons examiné les articles 1 à 8 dans un bon climat de débat.
En l’espace de quelques jours, deux nouvelles très importantes ont retenti comme un coup de tonnerre sur notre vieux continent. Les vingt-sept Etats membres de l’Union européenne viennent de donner leur accord à un "compromis" inique sur la proposition de directive "retour". Le débat n’est pas clos dans la mesure où ce texte doit être discuté dans quelques jours par le parlement européen.
Je suis intervenu dans le débat sur la proposition de loi portant réforme de la prescription en matière civile pour indiquer notamment que le texte était bon et relativement équilibré et que le groupe socialiste le voterait.
Interview publiée dans les cahiers de la compétitivité du Monde du 5 juin 2008
Richard Yung, sénateur des Français établis hors de France, ancien directeur de la Coopération internationale de l'Office Européen des Brevets de 1989 à 2004, plaide pour une relance de la politique européenne de l'innovation.
Le PS avait déposé à l'Assemblée Nationale et au Sénat une proposition de loi visant à démocratiser l'élection des sénateurs et à y permettre ce qui est l'essence de la démocratie, l'alternance. Il nous semble qu'aujourd'hui, disposant de la majorité des communes de France, surtout les grandes, des départements et des régions, le moment était venu de refléter cela dans la composition du Sénat. Notre proposition de loi visait à corriger cette situation inacceptable et à instaurer un mode de scrutin juste.
Richard YUNG, sénateur représentant les Français établis hors de France, dénonce l’attitude du gouvernement, qui vient une nouvelle fois de faire preuve de son mépris à l’égard des institutions chargées de protéger les libertés individuelles et publiques.
En publiant le décret du 30 avril 2008 relatif à la mise en circulation des passeports biométriques, le ministère de l’Intérieur a totalement fait fi des fortes réserves que la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) avait émises dans un avis du 11 décembre 2007.
Je suis intervenu le mardi 15 avril, lors de la discussion de la proposition de loi créant de nouveaux droits pour les victimes et améliorant l'exécution des peines.
Le 15 avril, j’ai interrogé la ministre de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative sur les discussions qui se déroulent actuellement au sein de l’OMS, et qui visent à élaborer une stratégie mondiale sur les recherches pour lutter contre les maladies touchant d’une manière disproportionnée les pays en voie de développement. Le groupe de travail intergouvernemental sur la santé publique, l’innovation et la propriété intellectuelle constitué à cette fin a conclu qu’il serait opportun d’étendre au domaine de la technologie médicale les modalités, négociées dans le cadre de l’accord de Doha, et il me semble que ce n’est pas l’organe adéquat pour discuter de questions de propriété intellectuelle.
Le secrétaire d'État chargé des sports, de la jeunesse et de la vie associative a fait pour sa ministre de tutelle une réponse hors sujet sur le problème des médicaments alors que ma question portait sur le possible risque d’extension du processus de Doha et des licences obligatoires à tout le secteur de l’industrie médicale.
Créée en 2000, la Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité (CNDS) est une autorité administrative indépendante. Elle a pour responsabilité de contrôler les conditions dans lesquelles les forces de sécurité (police nationale, gendarmerie nationale, administration pénitentiaire, police municipale, services de sécurité des transports publics et surveillance générale de la SNCF [SUGE], douanes) exercent leurs missions et en particulier les manquements à leurs règles de déontologie : garde à vue abusive, menottage, violences illégitimes, ...