Bienvenue sur ce site Archive

Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.

Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021.
Ce site est une image à la fin de mon mandat.
Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.

Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr

Merci de votre visite.

Richard Yung
Octobre 2021

immigration

Ayant été immigré lorsque je vivais à l’étranger, la question des droits des migrants, et notamment du droit d’asile, me touche particulièrement. J’interviens ainsi souvent sur les centres de rétention administrative, sur les questions de visas, de cartes de séjour, de regroupement familial

Vous trouverez ici mes interventions en matière d’immigration et d’asile.

Mardi 22 novembre, dans le cadre de l’examen du budget pour 2012, la nouvelle majorité sénatoriale a marqué encore une fois sa différence par rapport à la politique du Gouvernement en matière d’immigration, d’asile et d’intégration en supprimant deux dispositions injustes et budgétairement inutiles.

Sur l’initiative du sénateur Richard YUNG, une délégation de parlementaires composée des sénatrices Alima BOUMEDIENE-THIERY, Bariza KHIARI, Claudine LEPAGE et de la députée George PAU-LANGEVIN s’est rendue aux centres de rétention administrative (CRA) 2 et 3 du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) le lundi 19 septembre.

Le 9 août, deux Soudanais sont interpellés en gare de Bordeaux et placés en garde-à-vue pour séjour irrégulier. Ils sont conduits au centre de rétention et, par l'intermédiaire de leur avocat, saisissent le juge des libertés et de la détention pour qu'il annule la garde-à-vue. Dès le 10 aout, le juge des libertés et de la détention adresse les convocations à l'audience du lendemain, à 14 heures, mais, au petit matin du 11 aout, la Préfecture, sans avertir leur avocat, sans attendre l'audience, choisit de mobiliser et un véhicule et du personnel de police pour les reconduire à la frontière italienne.