Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.
Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021. Ce site est une image à la fin de mon mandat. Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.
Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr
Sur l’initiative du sénateur Richard YUNG, une délégation de parlementaires composée des sénatrices Alima BOUMEDIENE-THIERY, Bariza KHIARI, Claudine LEPAGE et de la députée George PAU-LANGEVIN s’est rendue aux centres de rétention administrative (CRA) 2 et 3 du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) le lundi 19 septembre.
Une délégation de parlementaires de gauche s'est rendue, le lundi 19 septembre 2011, au centre de rétention administrative situé dans la commune du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne), en France. A la sortie, pointant du doigt le sort réservés aux enfants de migrants, ils ont relayé la parole des retenus qui se plaignent régulièrement de conditions de rétention dégradantes.
«Il ne manque plus que le mirador », s’est exclamé la sénatrice Alima Boumediene-Thiery (EELV) hier à la sortie du centre de rétention administrative (CRA) no 2, après deux heures de visite. C’est la première fois que ce centre, qui abrite depuis un mois et demi, au Mesnil-Amelot, les sans-papiers en attente d’expulsion recevait la visite de parlementaires.
Les tribunaux sont en grande partie responsables des coûteuses guerres menées pour des brevets liés aux nouvelles technologies. Google, Apple, Microsoft et d’autres dépensent des milliards de dollars pour les droits sur les idées et les inventions qui font marcher les smartphones et autres appareils. Mais ce qu’achètent en réalité ces sociétés, c’est une protection juridique. A l’avenir, les décisions de justice devraient adapter la loi au monde réel.
Le 15 juin dernier, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a adopté – à l’issue de débats particulièrement houleux – une résolution affirmant expressément l’égalité entre les hommes quelle que soit leur orientation sexuelle ou leur identité de genre. Ce texte, proposé par l’Afrique du Sud et soutenu par 39 Etats (dont la France), réaffirme l’universalité des droits humains et prévoit la rédaction, d’ici à la fin de l’année 2011, d’un rapport faisant état des pratiques discriminatoires liées à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre.
Vous pouvez consulter en cliquant ici un document de travail sur les questions LGBT, en espérant contribuer ainsi au débat.
Le 9 août, deux Soudanais sont interpellés en gare de Bordeaux et placés en garde-à-vue pour séjour irrégulier. Ils sont conduits au centre de rétention et, par l'intermédiaire de leur avocat, saisissent le juge des libertés et de la détention pour qu'il annule la garde-à-vue. Dès le 10 aout, le juge des libertés et de la détention adresse les convocations à l'audience du lendemain, à 14 heures, mais, au petit matin du 11 aout, la Préfecture, sans avertir leur avocat, sans attendre l'audience, choisit de mobiliser et un véhicule et du personnel de police pour les reconduire à la frontière italienne.
A 42 ans, le judoka préféré de Bernadette, qui délient la médaille d’or du fayotage sarkozyste, a décroché à l’usure son strapontin ministériel de VRP électoral.