Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.
Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021. Ce site est une image à la fin de mon mandat. Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.
Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr
Merci de votre visite.
Richard Yung Octobre 2021
Revue de presse
Vous trouverez ici la dernière revue de presse réalisée par le Parti Socialiste et les coupures de presse relatives aux différents sujets que je suis.
Les expatriés pourraient être taxés sur les plus-values qu'ils constituent en France avant de les exercer à l'étranger. Le gouvernement avance prudemment, car Bruxelles a déjà censuré de tels dispositifs au nom de la liberté d'établissement en Europe.
Par FRANÇOIS SUREAU Avocat et écrivain, Tribune parue dans Libération le 21/02/2011
Réintroduite par l’Assemblée nationale après avoir été écartée par le Sénat, la disposition législative ayant pour effet de permettre de retirer leur nationalité aux Français «de fraîche date», lorsqu’ils ont commis un crime contre une personne dépositaire de l’autorité publique, est une mesure grave qui demande à mon sens une analyse sans passion.
PARIS, 17 février 2011 (AFP) - Le groupe socialiste du Sénat s'est "insurgé" jeudi dans un communiqué de la réintroduction à l'Assemblée, dans le projet sur l'immigration, d'un certain nombre de "mesures inacceptables qui avaient été supprimées" la semaine dernière par la chambre haute.
PARIS — Les sénateurs socialistes ont dénoncé mardi lors d'une conférence de presse le projet de loi sur l'immigration, dont le Sénat va entamer à son tour l'examen, comme un texte "stigmatisant" envers les étrangers et "attentatoire aux libertés publiques".