Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.
Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021. Ce site est une image à la fin de mon mandat. Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.
Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr
Merci de votre visite.
Richard Yung Octobre 2021
Elections
Les Français de l’étranger peuvent participer à de nombreuses élections. Pour la majorité des élections nationales, ils peuvent se rendre à l’ambassade ou dans un consulat. Ils ont, de plus, des représentants qui leur sont propres à l’Assemblée des Français de l’étranger. C’est cette assemblée qui élit les douze sénateurs représentant les Français établis hors de France. Par ailleurs, les expatriés pourront élire, à partir de 2012, onze députés des Français de l’étranger.
Dans une interview à paraître demain dans le Figaro Magazine, mais dont tout le monde parle déjà, Nicolas Sarkozy annonce l’organisation de référendums pour 2012 sur des sujets qui ne régleront aucun des problèmes principaux des Français, mais qui sont destinés à les opposer les uns aux autres.
Il y a bientôt trois ans, la Fédération des Français à l’Étranger du Parti Socialiste a décidé de se doter d’un projet, écrit à plusieurs mains et nourri de notre expérience militante partout dans le monde. Un projet qui porte notre idéal de transformation sociale et de solidarité internationale. Un projet qui soit, pour 2012 et au-delà, la feuille de route de celles et ceux qui veulent agir pour mettre en place une politique répondant aux attentes de nos compatriotes établis hors de France, où qu’ils se trouvent sur la planète.
Mes chers amis, vous qui êtes ici, vous qui me regardez de loin, de plus loin même, je suis venu vous parler de la France, et donc de la République. Je suis venu vous parler de la France qui souffre, mais aussi de la France qui espère. Je suis venu vous parler de la France d’aujourd'hui – une page est en train de s’effacer – et de la France de demain – nous sommes en train de l’écrire. Je suis venu vous parler de la France que nous allons construire le 6 mai. Je le fais ici en Seine-Saint-Denis, ce département aux multiples couleurs, le plus jeune de France, qui accumule tant de difficultés, et qui en même temps recèle tant d’atouts.
Le 7 décembre dernier, j'ai pris, avec mes collègues Hélène Conway, Jean-Yves Leconte et Claudine Lepage, l'initiative de saisir la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) au sujet de l'utilisation des moyens de la République par les ministres-candidats.