Je vous souhaite la bienvenue sur ce site archive de mon mandat de sénateur des Français hors de France.
Mandat que j'ai eu l'honneur de faire vivre de 2004 à 2021. Ce site est une image à la fin de mon mandat. Vous y trouverez plus de 2 000 articles à propos des Français de l'étranger. C'est un véritable témoignage de leur situation vis-à-vis de l'éducation, de la citoyenneté, de la protection sociale, de la fiscalité, etc. pendant ces 17 années.
Je me suis retiré de la vie politique à la fin de mon mandant en septembre 2021, je partage désormais mes réactions, points de vue, réflexion sur https://www.richardyung.fr
Le 30 avril 2009, je suis intervenu en séance au nom du groupe socialiste après la communication sur les suites du sommet du G20 des sénateurs membres du groupe de travail Assemblée nationale-Sénat sur la crise financière internationale.
Le 10 avril dernier, Eric Besson, ministre de l’immigration, de l’intégration et de l’identité nationale, a présenté les résultats de l’appel d’offres lancé pour gérer les centre de rétention administratives (CRA), où sont enfermés les sans-papiers arrêtés. Jusqu’alors, seule la Cimade, association de lutte pour les droits des sans papiers, était habilitée à intervenir dans les centres de rétention, où elle assurait l’information et l’aide juridique des sans-papiers.
Dans le cadre de la préparation du rapport que je prépare pour la commission des affaires européennes sur l'Europe sociale, j'ai rendu visite à Business Europe (Bruxelles) qui regroupe tous les patronats d'Europe et qui les représente. Les positions sont, semble-t-il, assez figées et assez peu de propositions pour relancer la politique sociale après les élections européennes ont été formulées.
Nicolas Sarkozy avait annoncé le 8 janvier 2008 sa volonté d’ajouter à la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 et au préambule de la Constitution de 1946 un texte intégrant de nouveaux droits, comme « la dignité de la personne humaine, l’égalité hommes-femmes, la diversité et la bioéthique ».
Je suis intervenu en séance à plusieurs reprises les 24 et 25 mars dans les débats sur la proposition de loi de simplification et de clarification du droit et d'allégement des procédures, notamment avec l’adoption de l’amendement que j'avais déposé avec le groupe socialiste sur la reconnaissance en France des partenariats civils enregistrés à l’étranger (voir le communiqué sur cette reconnaissance).
Vendredi 27 mars, avec mon collègue Yves Detraigne, rapporteur du budget de la justice, j’ai visité la cour d’appel de Toulouse et les différents tribunaux qui en dépendent. Entretiens avec les juges, visite du procès AZF (un des plus grands que la France ait connu), visite du nouveau palais de justice de Toulouse.
Nos entretiens ont porté en particulier sur la possible suppression du juge d’instruction, sur la carte judiciaire (suppression du TGI de Saint Gaudens), problèmes des effectifs et des moyens.
Le sénateur socialiste Richard YUNG se félicite de l’adoption définitive de l’amendement qu’il avait déposé avec le groupe socialiste sur la reconnaissance en France des partenariats civils enregistrés à l’étranger. Cet amendement avait été adopté à l’unanimité par la commission des lois et avait reçu l’avis favorable du gouvernement.
Vendredi 20 mars 2009, je me suis rendu sur invitation aux 3ème « Assises de la prostitution » à Paris, en compagnie de Mme Michèle André, Présidente de la délégation aux droits des femmes du Sénat. Ces Assises organisées par des associations de défense des droits des prostituées ont été l’occasion de discuter du sujet compliqué qu’est la prostitution, d’aborder le thème de la prostitution choisie, et de réfléchir à la place des prostituées dans la société, à leurs droits, à leur statut.
Le 28 janvier 2009, j’avais écrit à Jacques BARROT, Vice-président de la Commission européenne pour lui indiquer que j’étais étonné que la réflexion sur la révision de la directive du 24 octobre 1995 relative à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données ait été confiée à un groupe d’experts majoritairement composé de représentants de grandes entreprises américaines et de cabinets d’avocats basés aux Etats-Unis.
Dans sa réponse du 5 mars, Jacques Barrot m’indique ce groupe a été dissous et qu’il a « décidé de procéder à une large consultation qui intègre toute l’expertise relative à ces questions ».